Les études récentes sur les insectes saproxyliques (d’après Barnouin & al., 2013) et la bryoflore (CELLE, 2011, Hugonnot & al. 2015) ont démontré une richesse spécifique et une abondance des taxons patrimoniaux liés aux phases forestières et notamment aux forêts mâtures dans les Gorges de la Rhue. Etant donné que les groupements lichéniques peuvent être indicateur de forêts mâtures, ce groupe taxonomique si particulier devait donc être logiquement bien représenté dans cette vallée.
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